Coou, tu que me fas doublida Ma citat (1), doun soubèn languissi, Reçau aqu’s bers que t’ouffrissi. Soun tius, puisqué me fas canta.
Cahors, toi qui me fais oublier Ma cité (1), dont souvent je languis Reçois ces vers que je t’offre. Ils sont tiens, puisque tu me fais chanter
1 - Le félibre J.-B. (...)