A Cahors.
Aïeule au front voilé mais rayonnant quand même,
Toi, dont jadis le vin plein de feux éclatants
Réjouissait tes fils, ces frères des Titans,
Vieille cité, Cahors, sais-tu pourquoi je t’aime ?
C’est que, guerrière avec des créneaux pour emblème,
Aucune ville n’eut de plus fiers combattants,
Et (...)